La Forêt sombre
La suite du roman Le Problème à trois Corps dont j'avais parlé l'année dernière. Ce roman m'a été offert par son éditeur et, même si j'en ai déjà rédigé une chronique l'année dernière - je l'avais lu en version anglaise traduite à partir du chinois - je vais parler un peu de ce joli volume.
On notera tout d'abord la belle illustration de couverture de Stephan Martiniere, : identique à celle de l'édition anglophone, qui permet bel et bien de situer au premier coup d'oeil l'oeuvre dans le genre du space-opera. Le choix de la reprise d'une couverture déjà utilisée à l'international peut surprendre, mais il est ici très pertinent.
Dans ma chronique, j'avais tenté quelques traductions des termes intrinsèques de l'oeuvre, eux-mêmes traduits en anglais. J'ignore tout à fait quel était le mot chinois que le traducteur anglophone avait choisi de rendre sous la forme de Wallfacer : j'avais choisi, dans le cadre de ma chronique, une traduction sans doute pas très littéraire - celle de Fixe-Muraille... Le choix du traducteur français, qui a travaillé lui depuis le chinois, est fort différent : rien d'autre que Colmateur. Et je dois dire que cela me plaît mieux !
Pour le reste, j'ai déjà dit l'essentiel dans ma chronique citée plus haut : je vous invite à vous y reporter, pour savoir ce que j'ai pensé de ce deuxième tome de la trilogie trisolarienne de Liu Cixin. A distance de ma lecture, peut-être est-ce toutefois l'occasion de dire que, malgré l'intérêt que j'ai trouvé à ce roman, je crains que peut-être sa suite se montre moins tonique voire poussive. Mais ce n'est pas encore le propos : si vous avez aimé Le Problème à trois Corps, vous devriez donner sa chance à La Forêt sombre...
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