Dossier A tome 7 : Les anciens Accusateurs
Voici un nouvel épisode de la série Dossier A suivie en ces lieux.
Résumé :
Iriya, au Japon, se retrouve à enquêter sur un événement remontant à 1938. Trois adolescents, conduits par un étudiant, cousin de l'un d'entre eux, ont visité un village abandonné qui, selon la légende, aurait été habité par le clan d'Izumo, les premiers occupants du Japon. Selon la légende, la divinité tutélaire du clan d'Izumo était la Lune, alors que celle du clan de Yamato - fondateur du Japon ancien, et conquérant d'Izumo - était le Soleil. Or, la tradition populaire japonaise veut que la lune soit habitée par des lapins, faisant aussitôt le lien avec de précédents indices. Iriya va cependant devoir laisser sa piste japonaise de côté afin d'aller prêter main-forte à Yuli et Demer qui, à Budapest, vont croiser de nouveau la route des sbires du Vieux de la Montagne... mais surtout, un tueur as du couteau déjà rencontré en Grèce. Alors que, de plus en plus, des liens se font jour entre le mythe atlante et les traditions japonaises, Iriya ne va-t-il pas devenir la cible numéro un de cette mystérieuse organisation déterminée à éteindre le souvenir de l'Atlantide ?
Comme souvent dans cette série, voici un épisode un peu plus mouvementé que le précédent qui était assez tranquille, tout compte fait. Du coup, l'impression d'agacement laissée à la fin du tome 6 disparaît un peu. La série redevient distrayante et l'on a envie de lire l'épisode suivant.
Néanmoins, et de plus en plus, il m'apparaît clair que la quête atlante d'Iriya tourne en rond. Ce benêt accumule des indices et ne se pose jamais pour les synthétiser. En d'autres termes, qu'il est un peu brouillon dans ses recherches. Parce que se balader puis formuler diverses considérations d'ordre général sur la psychanalyse ou l'évolution de l'espèce humaine, ce n'est pas une façon de mener une enquête archéologique. L'intérêt du manga est donc en train de diminuer à mes yeux. La mécanique est rodée, on commence à comprendre comment ça fonctionne, et il serait temps que les auteurs se décident à nous surprendre...
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