Les expositions des Utopiales 2017

Comme chaque année, les Utopiales proposaient plusieurs expositions très variées, dont trois en particulier m'ont tapé dans l'oeil...

Je parlerai d'abord de l'exposition Galactik Bricks 2, laquelle proposait des montages en briques Lego de vaisseaux et de personnages issus des univers de SF les plus variés :

Le Général Grievous de la prélogie Star Wars joue-t-il de la batterie ?

Un bon vieux Xénomorphe tout droit sorti d'Alien.

 Cette exposition proposait par ailleurs des ateliers à destination du jeune public :

Il va de soi qu'étant gosse, j'aurais sans nul doute apprécié de faire plusieurs sessions de construction histoire de participer au mieux à la colonisation de la planète étrangère... Quoi qu'il en soit, voici à quoi ressemblait le résultat final au bout des cinq jours (enfin, cinq siècles dans le cadre du scénario proposé aux jeunes ingénieurs !) :

Autre exposition fort intéressante : celle qui tournait autour de la BD Le Tribut de Rochette et Legrand.

Il se trouve que, par hasard, je me suis souvenu quelques jours avant les Utopiales de cette BD qui avait croisé ma route dans les années 1990 mais que je n'avais jamais lue car c'était dans (A Suivre), et c'était la revue de BD adulte que lisait mon père à l'époque, et je n'avais pas le droit d'y toucher. Il se trouve que j'en ignorais jusqu'au titre : je dois une fière chandelle à cette exposition car, à présent, l'édition intégrale toute neuve se trouve dans ma PàL et devrait passer par ici dans quelques temps...

Le Tribut : planche originale, épilogue, page 14.

Il se trouve que cette page était l'une des rares que j'avais pu voir dans (A Suivre) à un moment où j'y avais eu accès. La scène m'avait frappé.

Enfin, le clou du spectacle c'était bien sûr l'importante - et impressionnante ! - exposition consacrée à Durieux, l'auteur de l'affiche officielle des Utopiales cette année...

Métropolis, première.

Métropolis, deuxième.

Une fois encore, les Utopiales ont gratifié leurs visiteurs de plusieurs expositions de toute beauté : la SF ne mérite pas moins !